mercredi 2 juillet 2008

Eis as críticas do filme Les sept jours...



Não sei quem lê francês entre meus leitores mas vale o esforço para divulgar esse trabalho...não sei se o filme fará carreira comercial no Brasil, não creio...mas há sempre uma sala que mostra o que é bom, as vezes um festival...e se souberem (se eu souber aviso logo todo mundo!) onde Les sept jours vai ser exibido corram para assistir...raras vezes em minha vida, e eu não sou uma adepta da telona, vi um elenco tão bom e uma atriz como Ronit Elkabetz...leiam as críticas...que se dividem em ótimas, boas e mais ou menos...como sempre d'ailleurs...


Critique de T.B., parue dans Studio Magazine n°247 - Juin 2008

On l'a déjà dit, mais redisons-le quand même : le cinéma israélien semble ne s'être jamais aussi bien porté, livrant récemment des œuvres éclectiques de haute tenue comme La visite de la fanfare, Beaufort, Désengagement… Les sept jours du duo Elkabetz (Prendre femme…) s'ajoute à cette liste. Drame a priori classique autour des dissensions familiales, la mise en scène habitée parvient à révéler chacune des individualités (l'ensemble du casting est éblouissant), électrons pas forcément libres dont la fusion provoque des étincelles (entre rires et larmes). Hautement recommandé, en somme !

http://www.studiomagazine.fr/film/critique.asp?id=36090

Isabelle Danel
Critique film (Les Sept Jours)Filmant en plans séquences virtuoses, procédant par cercles concentriques, les réalisateurs composent une mosaïque de personnages à la fois singuliers et universels, un choeur de préjudiciés. Tragique et drôle à la fois, Les 7 jours dissèque le ressenti et le ressentiment qui tissent les liens du sang - ici et là-bas, hier et aujourd'hui - avec une maîtrise impressionnante et un amour immense.
http://www.premiere.fr/film/les-sept-jours/(affichage)/press

Elle - Florence Ben Sadoun
Critique film (Les Sept Jours)
Ça peut faire très mal, une famille, et aussi de très beaux films. En tout cas, c'est le sujet de prédilection de Shlomi Elkabetz et sa grande soeur Ronit, qui est aussi une grande actrice. Pendant près de deux heures, les deux réalisateurs israéliens prennent à bras le corps avec leur caméra invasive une famille en crise qui pourrait ressembler à la leur, ou à la vôtre.

Journal du dimanche - Jean-Pierre Lacomme
Critique film (Les Sept Jours)
Nous sommes en Israël, en 1991, durant la deuxième guerre du Golfe et les Scuds menacent. Et les participants à la cérémonie d'enfiler leur masque à gaze. Ce sera le seul moment tragi-comique des Sept jours, qui se poursuit comme un huis-clos duquel une famille règle ses comptes sentimentaux et financiers. De bons acteurs n'allègent pas de psychodrame étouffant, qui a toutes les apparences d'un roman sans aucun paragraphe.

Pariscope - Arno Gaillard Critique film (Les Sept Jours)

La mort, la religion, la douleur et la vie qui continue dans l’amertume, voilà ce que filment magnifiquement Ronit Elkabetz et Shlomi Elkabetz. On rit et on est ému par ces êtres fragiles et forts, retors et maladroits qui se déchirent. Les femmes se jalousent, et préparent la cuisine comme le rabbin l’exige, tout en cherchant un futur mari. On règle les comptes du passé et d’autres continuent les affaires à l’écart, à l’abri de la tristesse, en en venant aux mains. Bref, le cadavre de Marcel n’empêche pas la vie, il la souffle. Un beau moment de cinéma plein d’énergie et d’amour. Le noir leur va si bien.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Delícia este blog... E o nome, então, melhor seria impossível: "Paris, uma festa para poucos..." Fiquei mais contente ainda quando vi que temos duas paixões em comum: Soleil (grupo que conheci e tive a oportunidade de trabalhar durante o Porto Alegre Em Cena) e Koltès (autor que estudo no meu mestrado aqui em Porto Alegre)... beijos!